top of page

Titre 2

Titre 3

Titre 4

Titre 6: paragraphe gras

paragraphe1

  1. Liste numérotée

  • liste à points

Vacances

A la mer 

Protéger la peau

 

Porter des chaussures surtout dans les mers tropicales.

Ne pas manipuler les méduses échouées.

Ne pas s’asseoir directement sur le sable des plages tropicales (risque de larva migrans cutanée).

Le soleil

 

Eviter le soleil en milieu de journée (12 à 16 h)

Toujours privilégier le vêtement par rapport à la crème solaire

Crème solaire pour les zones découvertes : indice 40 ou 50 toutes les 3 heures

Ne pas donner de médicament sans avis médical : risque de photosensibilisation

Ne pas appliquer de parfum, de crème parfumée, d’huile essentielle : risque de photosensibilité

En cas de coup de soleil : bien faire boire, bain tiède, antalgique, crème type Biafine*, dermocorticoïde après avis médical.

Les insectes

 

Chez l’enfant, les piqûres de moustiques peuvent être à l’origine de lésions vésiculeuses ou bulleuses :

Désinfecter, appliquer un dermocorticoïde après avis médical pendant 4 à 5 jours.

En cas de piqûre de méduse 

 

Sortir de l’eau

Ne pas frotter

Ne pas appliquer d’eau douce

Rincer abondamment pendant 30 à 40 min avec de l’eau de mer, si possible chauffée

Désinfecter et consulter pour une prescription d’un dermocorticoïde.

En cas de piqûre de vive (fond sableux, Méditerranée, Atlantique) 

 

Sortir de l’eau

Rincer la blessure à l’eau de mer

Mettre le pied dans de l’eau chaude pendant 20 min, à défaut, approcher prudemment une source de chaleur cigarette)   

Désinfecter, donner un antalgique.

Protéger les yeux

 

Protéger les yeux des UV, par le port de lunettes de soleil, d’un chapeau, ou en restant à l’ombre.

Protéger les oreilles

 

Les contre-indications à la natation sont rares : otite moyenne aiguë, otite externe et perforation tympanique large. En cas d’aérateurs trans-tympaniques, demandez à l’ORL si les bains sont autorisés.

La plongée sous-marine

 

La première aptitude à la plongée sous-marine n’est prononcée qu’après examen des tympans, test auditif, et impédancemétrie.

La plongée sous-marine est contre-indiquée de manière définitive en cas de surdité ou vertiges. Elle est contre-indiquée tant que le tympan n’est pas fermé (perforation tympanique, aérateurs trans-tympaniques). On ne doit jamais plonger en cas de rhume, ni dans les 24 heures qui précèdent un voyage en avion.

A la montagne

 

Le soleil

 

Il est parfois très intense et la réverbération peut-être importante s’il y a de la neige.

 

Le froid

 

Il peut faire froid très vite car le temps peut changer rapidement et la température baisse progressivement avec l’altitude.

Les problèmes liés à la diminution de l’oxygène dans l’air (hypoxie)

 

Ils peuvent survenir à partir de 2000 mètres ; entre 2000 et 2500 mètres, des symptômes mineurs peuvent apparaître: troubles du sommeil et perte d’appétit; ils disparaissent en 2-3 jours.

A partir de 2500 - 3000 mètres, afin de s’acclimater à l’altitude, il faut monter progressivement, en théorie, pas plus 500 mètres par jour.

A partir de 3000 mètres, si l’ascension a été trop rapide, le mal des montagnes peut survenir associant maux de tête, nausées, vomissements, vertiges, insomnie, voire troubles respiratoires et de conscience. Il est impératif de redescendre immédiatement jusqu’à l’arrêt des symptômes.

Le mal des transports

 

On peut utiliser :

Scopoderm* : pastille à coller derrière l’oreille (à partir de 15 ans)

Mercalm* (à partir de 6 ans)

Nausicalm*, Dramamine*, Nautamine* (à partir de 15 ans)

 

Sur un bateau, le fait de ne pas voir l’horizon, la chaleur et les odeurs accentue toujours les nausées. Il faut donc éviter de rester dans la cabine.

L’enfant allergique

 

Ne pas oublier d’apporter le traitement (préventif et curatif).

Les allergènes le plus souvent en cause sont :

Les poussières de maison, les pollens de graminées (d’avril à juillet en région parisienne un peu plus tard à la montagne).

Les symptômes respiratoires sont les plus fréquents : toux sèche, éternuements, picotement des yeux.

L’urticaire est plus rare : l’éruption ressemble  à celle déclenchée par des piqûres d’orties et nécessite un traitement parfois urgent (corticoïdes).

A la mer 

Protéger la peau

 

Porter des chaussures surtout dans les mers tropicales.

Ne pas manipuler les méduses échouées.

Ne pas s’asseoir directement sur le sable des plages tropicales (risque de larva migrans cutanée).

Le soleil

 

Eviter le soleil en milieu de journée (12 à 16 h)

Toujours privilégier le vêtement par rapport à la crème solaire

Crème solaire pour les zones découvertes : indice 40 ou 50 toutes les 3 heures

Ne pas donner de médicament sans avis médical : risque de photosensibilisation

Ne pas appliquer de parfum, de crème parfumée, d’huile essentielle : risque de photosensibilité

En cas de coup de soleil : bien faire boire, bain tiède, antalgique, crème type Biafine*, dermocorticoïde après avis médical.

Les insectes

 

Chez l’enfant, les piqûres de moustiques peuvent être à l’origine de lésions vésiculeuses ou bulleuses :

Désinfecter, appliquer un dermocorticoïde après avis médical pendant 4 à 5 jours.

En cas de piqûre de méduse 

 

Sortir de l’eau

Ne pas frotter

Ne pas appliquer d’eau douce

Rincer abondamment pendant 30 à 40 min avec de l’eau de mer, si possible chauffée

Désinfecter et consulter pour une prescription d’un dermocorticoïde.

En cas de piqûre de vive (fond sableux, Méditerranée, Atlantique) 

 

Sortir de l’eau

Rincer la blessure à l’eau de mer

Mettre le pied dans de l’eau chaude pendant 20 min, à défaut, approcher prudemment une source de chaleur cigarette)   

Désinfecter, donner un antalgique.

Protéger les yeux

 

Protéger les yeux des UV, par le port de lunettes de soleil, d’un chapeau, ou en restant à l’ombre.

Protéger les oreilles

 

Les contre-indications à la natation sont rares : otite moyenne aiguë, otite externe et perforation tympanique large. En cas d’aérateurs trans-tympaniques, demandez à l’ORL si les bains sont autorisés.

La plongée sous-marine

 

La première aptitude à la plongée sous-marine n’est prononcée qu’après examen des tympans, test auditif, et impédancemétrie.

La plongée sous-marine est contre-indiquée de manière définitive en cas de surdité ou vertiges. Elle est contre-indiquée tant que le tympan n’est pas fermé (perforation tympanique, aérateurs trans-tympaniques). On ne doit jamais plonger en cas de rhume, ni dans les 24 heures qui précèdent un voyage en avion.

A la montagne

 

Le soleil

 

Il est parfois très intense et la réverbération peut-être importante s’il y a de la neige.

 

Le froid

 

Il peut faire froid très vite car le temps peut changer rapidement et la température baisse progressivement avec l’altitude.

Les problèmes liés à la diminution de l’oxygène dans l’air (hypoxie)

 

Ils peuvent survenir à partir de 2000 mètres ; entre 2000 et 2500 mètres, des symptômes mineurs peuvent apparaître: troubles du sommeil et perte d’appétit; ils disparaissent en 2-3 jours.

A partir de 2500 - 3000 mètres, afin de s’acclimater à l’altitude, il faut monter progressivement, en théorie, pas plus 500 mètres par jour.

A partir de 3000 mètres, si l’ascension a été trop rapide, le mal des montagnes peut survenir associant maux de tête, nausées, vomissements, vertiges, insomnie, voire troubles respiratoires et de conscience. Il est impératif de redescendre immédiatement jusqu’à l’arrêt des symptômes.

Le mal des transports

 

On peut utiliser :

Scopoderm* : pastille à coller derrière l’oreille (à partir de 15 ans)

Mercalm* (à partir de 6 ans)

Nausicalm*, Dramamine*, Nautamine* (à partir de 15 ans)

 

Sur un bateau, le fait de ne pas voir l’horizon, la chaleur et les odeurs accentue toujours les nausées. Il faut donc éviter de rester dans la cabine.

L’enfant allergique

 

Ne pas oublier d’apporter le traitement (préventif et curatif).

Les allergènes le plus souvent en cause sont :

Les poussières de maison, les pollens de graminées (d’avril à juillet en région parisienne un peu plus tard à la montagne).

Les symptômes respiratoires sont les plus fréquents : toux sèche, éternuements, picotement des yeux.

L’urticaire est plus rare : l’éruption ressemble  à celle déclenchée par des piqûres d’orties et nécessite un traitement parfois urgent (corticoïdes).

Wikipediatre © 2020         Site réalisé par le Docteur Michèle NOBLINS

bottom of page